J’ai récemment écrit un billet sur mes coups de coeur musicaux de 2011, en date de juin.
Et vous? Quels ont été pour vous les albums les plus marquants depuis le début de l’année?
J’ai récemment écrit un billet sur mes coups de coeur musicaux de 2011, en date de juin.
Et vous? Quels ont été pour vous les albums les plus marquants depuis le début de l’année?
Les fans de Primus et Les Claypool connaissent bien Oysterhead, super-groupe formé par le célèbre bassiste, le batteur Stewart Copeland (The Police) et le guitariste/chanteur Trey Anastasio. Ils ont fait paraître un album en 2001 (The Grand Pecking Order) qui fut suivi par une brève tournée nord-américaine. Personnellement, c’est l’un de mes projets collaboratifs préférés: éclaté, rythmé, drôle, et varié, l’album révèle une chimie parfaite entre ces trois musiciens au sommet de leur art.
Eh bien Claypool et Copeland semblent vouloir remettre ça: un vidéo est paru à la mi-juin, mettant en vedette Claypool et Copeland, mais aussi les batteurs Neil Peart (Rush) et Danny Carey (Tool). Ce montage d’une session de jam qui a eu lieu au studio personnel de Copeland ne présente rien d’extraordinaire sur le plan musical. Ce qui l’est, c’est la présence d’autant de bons musiciens et de voir la complicité qui ressort de jam, intitulé Count Drumula par ses participants.
La parution d’un tel vidéo ne signifie pas nécessairement qu’un autre super-groupe est en cours de formation, d’autant plus que Primus s’apprête à partir en tournée pour faire la promotion de leur nouvel album Green Naugahyde, qui paraîtra en septembre. Mais en tant que mélomane et fan de ces quatre musiciens, je peux quand même un peu rêver, non?
Après avoir perdu ses journaux québécois l’an dernier, Quebecor Media, via sa filiale Sun Media, s’apprête en effet à se retirer du conseil de presse de l’Ontario, sous prétexte, et je cite, qu’il ne peut adhérer aux normes de rectitude politique de ce tribunal d’honneur des médias. Non non, je ne blague pas du tout (en fait, peut-être un peu…).
Comment peut-on prétendre publier des journaux si on n’embauche pas vraiment des journalistes (ou du moins, si on embauche principalement des « touche-à-tout » qui n’ont pas de compte à rendre à personne en termes d’éthique journalistique), et que l’on adhère pas non plus au groupe qui veille au bon fonctionnement de la presse?
Un ancien collègue disait souvent sur un ton sarcastique qu’il ne pouvait se résigner à appeler le Journal de Québec un journal. Les plus méchants peuvent bien le qualifier de torchon, lui, préférait dire tout simplement le JdeQ. Notez que ça sonne plutôt bien… et vrai (aussi vrai que TVA, non?).
Reste plus qu’à demander aux lecteurs d’écrire les articles eux-mêmes… misère…